Le grand cockpit et le pont avec son revêtement en liège

Cabine Arrière Tribord

Cabine Avant

Cabine Arrière Bâbord

Quand je pense qu’un jour, forcément, tout ce bazar caché derrière les cloisons et sous les planchers va tomber en rade… et que je vais devoir le réparer… et bien sûr il y aura 4m de creux et 35 noeuds de vent… au minimum …

Mais regardez moi comme ce pont sera confortable pour les pieds nus

Les soudeurs ont laissé la place aux menuisiers.

En tout cas, les planchers et les cloisons commencent à arriver. Et toujours la tête en direct sous les étoiles, à l’intérieur même du bateau.
Vue vers l’avant

Vue vers l’arrière

La penderie, le futur petit bureau, les cloisons de séparation, avec la salle de bain tout au fond

Si si, regardez bien, tout au bout, là-bas, dans le fond… un début d’ameublement …

(Jeu de mot très fin pour initiés)

Bon ça avance, ça avance… Peinture finie, cablages presque finis, on commence les aménagements intérieurs… et il est pas beau, ce winch Andersen 62 ? C’est pas de la daube, ça, mon bon Monsieur.

La coque va rester en aluminium brut: On  ne touche jamais pendant les manoeuvres de port, c’est bien connu, mais bon… au moins les éraflures ne se verront pas.

Et les superstructures en blanc, avec un revêtement de pont en liège de synthèse, c’est chaleureux et plus confortable pied nus quand il fait chaud.

Pas beaucoup d’eau sur cet itinéraire, me diriez-vous, et vous auriez raison, Ô perspicace lecteur.

En fait, la chaudronnerie est finie, et le bateau a été transféré à Cherbourg pour la phase finale de la construction: Sablage et peinture, amménagement interieurs, gréement… Il ne navigue pas encore, mais une grosse étape a été franchie.

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Oups, en fait c’est le moule du roof et de la casquette. Et oui, ca flotte, ca ne vole pas.