Monter en haut du mat, j’adore

Surtout avec 25 noeuds de vent et 3 mètres de creux. C’est vraiment la manoeuvre la plus difficile en haute mer, mais on n’avait pas le choix. En prenant le deuxième ris, l’un des lazy-jack se prend dans l’un des chariots de grand-voile, et la coince complètement. Impossible de hisser ou d’affaler la voile, et c’est ma faute, j’avais repéré que l’ensemble du lazy-bag n’était pas assez tendu.

Donc Clément me hisse, et je passe 20′ dans la chaise de calfat à décoincer le bout de la main gauche, tout en m’agrippant comme un fou au mât avec mon bras droit et mes deux jambes. Très content quand c’est fini.

Clément me hisse et m’assure

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